1 an sur Kadoran : les Antilles 1



Une coupure de réseau a effacé les images précédentes des Salvagem, de Lanzarotte, de la Gomera et de Grenade. Nous reprenons donc aux tobago cays, grenadines de St Vincent.






Vue sur le mouillage depuis l'île déserte aux iguanes


Après un jour de repos, à snorkler et explorer, nous partons pour Bequai.
et profitons du farniente pour un sympathique petit déj, avec café Lavazza et rouleau au raisins.


et  balade au marché.


Nous quittons Bequia pour Ste Lucie, une nuit de nav très sportive. 40 noeuds au pré, Jacqueline malade, tout le monde trempé, c'est avec satisfaction que nous arrivons à Ste Lucie, avant de parvenir à la marina, nous traversons un petit canal où les pêcheurs locaux vendent de belles langoustes
qu'Yves,Jimmy et Jacqueline achètent pour un délicieux repas à bord. Le tout est de trouver la technique pour la cuire, au vu de sa taille disproportionnée par rapport à la casserole.
Nous louons une voiture et partons à la découverte de l'île.
Tout d'abord, Castries, la capitale, avec son église
 ses maisons typiques et son marché.


Puis découverte de la côte est, 


puis de la jungle avec ses routes sans accotement,
                     et des célèbres pythons.                                    
              Départ pour la Martinique pour quelques miles de nouveau bien sportifs au vu des grains que nous traversons.Nous arrivons au marin, jolie baie où le club med s'est installé.
C'est là que Jacqueline et Jimmy débarquent, ainsi qu'Yves après 2 mois de séjour à bord et une transat riche en expériences.
Nous changeons également l'étai. 4 jours pour vaquer à nos diverses occupations de maintenance et arrivent Héléna et Ermete. Avec un véhicule nous visitons l'île avec ses belles plages de cocotiers


             
 Nous tentons de grimper sur la montagne pelée mais la route est tellement raide, étroite et cahoteuse que nous devons faire demi tour
                                 Après ces quelques jours de balade touristique, nous appareillons pour les Saintes, en faisant une escale à l'anse d'Arley et une à St Pierre.
Pour ce faire, nous passons près du rocher du Diamant


Anse d'Arley

La baie de St Pierre où nous rencontrons une équipe de Thalassa et Georges Pernoud bien sympa avec lequel nous discutons très agréablement.
La traversée sur les Saintes dure 12 heures et nous décidons de partir au petit matin. Les conditions seront très difficiles avec 45 noeuds de vent vrai ( travers). Héléna (qui n'avait jamais navigué) se montre stoïque malgré le fait qu'elle se fasse abondamment doucher par les vagues, et Ermete est ravi de barrer dans ces conditions, ce qu'il fait avec beaucoup de maestria. Il n'y a pas à dire, la pratique du dériveur est sans égale pour acquérir le sens du bateau.
Quoi qu'il en soit, ils sont enchantés d'avoir vécu cette nav, ce qui ne se serait pas produit si nous n'avions pas eu de souci de grément et qu'ils aient atterri à Pointe à Pitre comme prévu. Ils se sont acclimatés très vite à l'environnement marin, sans mal de mer, en comprenant très vite toutes les consignes du skipper, réalité qui nous a bien facilité la tâche.
L'arrivée aux Saintes se fait avec un nième grain et nous attendons un moment devant la passe que le vent se calme, avant d'aller mouiller à l'îlet  Cabrit.,magnifique mouillage avec aquarium naturel
pélicans pêcheurs
et les magnifiques frégates




Nous passons quelques jours à nous remettre sur cet archipel magnifique, d'abord, avec un petit café sous la pluie,
puis, avec du beau temps.Régates du dimanche dans la baie des Saintes


et 2 jours de windsurf. Même si le matos n'est pas à la hauteur, le plaisir est là quand même.
Plage de Pompierre
 panorama de Pompierre
 Repas au Salako après la baignade à Pompierre
 Robin se caraïbise
Ici,les iguanes vivent en liberté au milieu des chèvres et des poules.Cimetière typique de Guadeloupe
 En Guadeloupe, il n'y a pas grand chose de dangereux comme faune et flore, sauf le mancenillier, arbre fruitier (sortes de pommes) dont les fruits sont très toxiques, de même que l'eau de pluie qui en ruisselle et provoque de graves brûlures. En général, il est marqué de peinture en rouge pour indiquer le danger, sauf sur l'îlet Cabrit où il pousse généreusement.
Nous partons ensuite pour Pointe à Pitre où nous louons une voiture pour visiter cette magnifique île.
Les marches aux esclaves et le fromager installé sur l'ancienne prison des esclaves.
Puis vue de la pointe de la grande vigie
 et de la pointe des châteaux.
Puis la porte de l'enfer et le trou de Mme COCO, jolie plage très fréquentée.


Un autre jour, plage de Deshaies où les Gauro partent à la chasse aux cocotiers, relativement rares sur les plages de la Guadeloupe
 et traditionnel café à Deshaies, avant de visiter le jardin botanique de l'ancienne maison Coluche
Jardin botanique
 Carpes voraces nourries par les touristes
 Fleur de bananier
 Oiseau du paradis et oreilles d'éléphants fleuries
Nous apprenons que les orchidées sont des plantes parasites
 bulbes de châtaignes
et arbre à canelle
 Le fruit de l'arbre à pain, mangé comme légume et assez pâteux.
 l'ancienne maison de Coluche
 Perroquets en liberté
 et en volière
 Marché du poisson à Pointe à Pitre
et marché traditionnel où les vendeuses sont assez agressives. Nous ne restons que  le temps d'acheter de la poudre de colombo à une Edith assez sympa, qui me demande de la photographier une fois que je l'ai payée... No coment.
Sur Basse terre, nous partons à l'assaut de la canopée
avant de terminer dans la vraie jungle
Visite des distilleries de Rhum :
la Distillerie Damoiseaux moderne
 Nous apprenons que le rhum agricole est fait à partir du jus de canne à sucre, alors que l'autre est fabriqué à partir de la mélasse tirée de la canne à sucre. Le rhum agricole, qu'il soit blanc ou vieilli en fût de chêne (donc brun) est de qualité supérieure au rhum classique-

et la distillerie Longueteaux, plus traditionnelle, avec sa belle maison de maîtres et ses champs de canne à sucre
 Plaisir et fléaux des îles, le rhum attaque aussi les neurones et cela se voit sur certains habitants
Excursion aux chutes de Carbet, inaccessibles tout près après un éboulement
 et délicieux colombo de poulet sur le bord de la route,
avec les mangoustes en liberté qui attendent les restes

Nous nous retrouvgons seuls pour plus de 2 mois et décidons de retourner aux Saintes, avant de partir pour Portsmouth, en Dominique.
Nous acceptons de payer un mooring à Cobra, qui nous  amène à la clearance et surveille le bateau. Ce pays est très pauvre mais tout est cher. Nous rencontrons une famille suédoise avec laquelle nous décidons de visiter l'île. Nous nous faisons  avoir par Cobra qui nous trouve un chauffeur et fixe le prix en US$, alors que nous pensons qu'il s'agit d'EC, soit 2.6 fois moins. Néanmoins, nous faisons un chouette tour de l'île, avec dégustation de fruits,
artisanat en osier, calebasse et coco.

Nous partons voir une chute, dans laquelle les Suédois s'en donnent à coeur joie. Nous sommes moins attirés par l'eau froide et demeurons spectateurs.
Après cette petite excusrion, le chauffeur nous emmène déjeuner dans un resort magnifiquement placé, mais totalement inadéquat : nous attendons 2 h un repas franchement mauvais et pas du tout typique.
En route, nous découvrons le fruit de la noix de muscade.
Retour par la côte Atlantique et ses belles plages,
avec arrêts photos et contrastes en tous genres...


Retour dans la baie de Portsmouth.
où l'on retrouve les traces du dernier cyclone avec de nombreuses épaves.

Le lendemain, avec Cobra, qui cette fois essaie de se racheter, nous visitons la rivière indienne, sur laquelle Pirate des Caraibes a notament été tourné.

Cobra accoste près d'un petit resto au début de la rivière, qui semble lui appartenir

Les normes de sécurité du tourisme de masse : la rivière ne dépasse pas 1m de profondeur !




L'après-midi, nous partons visiter le parc national, ancien fort anglais

Après avoir joué à Tarzan, nous profitons de la vue sur les Saintes

et sur les rivages de l'île

Retour le long de la plage
avant de faire une petite pause wifi chez big papa.
Au revoir la Dominique
Après La Dominique, nous sommes revenus aux Saintes, puis à Malendure pour snorkler à la réserve Cousteau et nager au milieu des tortues et des poissons coraliens. Comme nous avions 2 mois, nous sommes partis ensuite de Deshaie pour Antigua, île indépendante anglosaxone avec de très belles couleurs d'eau, mais rien de particulièrement intéressant à terre. Comme partout, il faut faire la clérance.
Nous nous rendons de la marina de Joly Harbourg en bus pour  la capitale, St John,
 et allons, le lendemain, toujours en bus  à English harbourg
Puis, nous passons 2 jours à Great bird, mouillage dont Robin gardait un souvenir magique. 30 ans plus tard, ce magnifique îlot sauvage est assiégé par les bateaux de touristes
et nous décidons de ne pas nous attarder

La sortie sur Barbuda est périlleuse en raison des nombreux récifs coraliens qui
pavent les fonds.
Arrivée splendide sur  coco beach à Barbuda
Après quelques jours de snorking nous partons à l'aube pour St Barth, 60 miles de nav.


Nous découvrons une île atypique qui ressemble plus à la Grèce qu'à l'image que l'on se fait des Antilles et mouillons dans une jolie baie aux roches rouges : les Salines
Apéro tipunch traditionnel.
Le lendemain, nous mouillons dans la baie de  Gustavia ( avec une vue magnifique sur les îles environnantes ( St Martin, Saba, Statia et St Kitt)
Gustavia est réputée pour ses belles boutiques et les yachts de grand standing.
Visite de l'île et vue sur St Martin
et arrêt près de la la piste vertigineuse de l'aéroport
Après un bon ravitaillement, nous levons l'ancre pour le côté hollandais de St Martin et mouillons à Phipipsburg, à côté de baquebots monstrueux. C'est la ville free taxe aux magasins tenus par des Pakistanais qui ne connaissent pas les produits qu'ils vendent et ne pensent qu'au chiffre. L'horreur, nous repartons dès le lendemain.
pour Marigot, le côté français, avec sa belle petite ville si sympathique et son magnifique mouillage.
Pour revenir en Guadeloupe, nous décidons de passer par les petites  îles moins connues, telles St Eustache ( Statia) qui a une gde activité pétrolière, 

et la jolie petite ville d'Oranjenstad
où nous admirons des aras en liberté qui volent de par et d'autre de la ville, puis St Kitts ,
et Nevis peu intéressants à part les mouillages,


en terminant par Montserrat, dont le volcan a détruit une grande partie de l'île et qui a dû être paertiellement évacuée. Nous respectons la zone de navigation interdite qui ns empêche de nous approcher.
De retour en Guadeloupe, nous nous arrêtons Malendure, les Saintes où nous essuyons un ébnorme grain, puis Poînte à Pitre. En remontant sur St François, pour retrouver  Sandra et famille nous mouillons à Gosier et son joli îlet
Le lendemain,le vent n ous empêche de remonter sur St François, nous décidons donc de traverser sur Marie Galante, avec une belle surprise pour ce beau mouillage
A port Louis, nous nous restaurons chez la doudou